Histoires érotiques
Des centaines d’histoires plus coquines les unes que les autres racontés par nos membres …
Je suis Isabelle, une normande très mignonne avec mes fossettes, mes grands yeux noisettes et mes lèvres fines toujours prêtes à rire.
Je suis d’ailleurs tellement attirante du haut de mes 22 ans et de mes 1m69 que je jongle entre les rencards et, là justement, j’attends un mec.
Tiens, ça sonne ! Ce doit être Gabriel, ce beau déménageur avec des pectoraux impressionnants et au regard perçant, que j’ai rencontré en boîte de nuit la nuit dernière.
Pour l’occasion, j’ai enfilé une nuisette en soie blanche, des bas tenus par un porte-jarretelles noir et des escarpins, pour donner le ton à cette soirée.
Je pense qu’on ne va pas passer la soirée à discuter mais à faire des choses bien plus croustillantes !
Quand je lui ouvre la porte dans ma tenue sexy, je reste interloquée, il n’est pas seul ! Le cochon, il a ramené un pote.
Ce n’était pas prévu au programme, mais bon tant pis, plus on est de fous plus on rit.
Ils sont maintenant tous les deux dans mon salon, Gabriel est un brun au charme portugais, et son complice un grand blond. Ils n’ont d’yeux que pour mon décolleté et mes cuisses. Je suis mal à l’aise mais ils me sourient et me demandent si je veux qu’ils partent. Non, surtout pas, restez.
Nous voilà tous les trois dans ma chambre.
Paul, c’est comme ça que s’appelle mon invité surprise, se met à caresser ma nuque puis sa main douce descend le long de mon dos avant de pétrir mes fesses charnues.
Quand il tombe sur mon string, il s’empresse de me le retirer. Gabriel, lui, s’est assis sur mon lit pour nous regarder.
Je suis décidée à m’éclater maintenant que je suis à l’aise, après tout je suis chez moi.
Sucer, voilà ce que j’ai envie de faire, sentir son gland palpiter entre mes lèvres.
Il me laisse tout loisir de téter son membre et j’ai très envie d’écarter les cuisses pour me faire pénétrer.
Paul nous regarde toujours alors je me fais audacieuse et je vais vers lui pour lui réserver le même sort qu’à Gabriel. N’en pouvant plus et hors d’haleine, je m’étends sur le lit et je retire ma nuisette.
Mes tétons sont dressés et je coule de plaisir.
Me voilà encerclée par ces deux hommes qui ne sont que douceur. Leurs doigts ne sont que caresses et leurs lèvres m’embrassent avec passion.
Je ne peux m’empêcher de gémir quand l’un me pénètre l’entrecuisse de façon brutale tandis que l’autre se fraie un passage en force entre les fesses.
Là je hurle à n’en plus finir.
Trop tard, un orgasme fulgurant m’étreint !
J’ai décidé de tromper mon mari en m’offrant un toy-boy, vous savez, ces jeunes mecs à la recherche d’une cougar qui se font ensuite jeter comme un mouchoir en papier par leur utilisatrice quand ils ont servi une unique fois !
Cette idée géniale m’est venue un jour dans la rue alors que j’ai croisé une de mes amies au bras d’un jeune mec très mignon. Je me suis dit que c’était mon tour de prendre du bon temps !
J’ai dragué un vendeur de fringues et je dois dire que ça a fonctionné comme sur des roulettes. Je ne sais pas si c’est mon chemisier transparent qui l’a charmé, si c’est ma mini-jupe ras les fesses ou ma bouche en cœur, toujours est-il qu’il m’a dit oui quand je l’ai invité à me rejoindre le soir même dans un bistrot à la mode. Notre différence d’âge n’a pas semblé l’importuner, j’ai 41 ans.
Pas du tout empotée avec les hommes quand il s’agit de leur dire à quel point j’aime le sexe, je suis entrée dans le vif du sujet. Une fois que nos boissons ont été choisies, je lui ai avoué que je souhaitais coucher avec lui, là, maintenant !
Il m’a prise au mot. Tout en me tenant fermement par la main, il s’est frayé un chemin parmi les consommateurs debout pour que nous allions aux toilettes tous les deux. Coup de chance, elles étaient libres ! Il m’a alors plaquée contre la porte fermée à clé et a posé sa bouche contre la mienne. Quel baiser époustouflant !
Tout en tournant sa langue dans ma bouche il a ouvert sa braguette et sorti son sexe rigide.
C’est d’un ton autoritaire qu’il m’a dit : « Suce, salope ! ». J’adore recevoir des ordres, comment a-t-il deviné ? J’ai alors léché sa queue avant de me relever pour lui tourner le dos et lui offrir une vue parfaite sur mon cul. Il a poussé mon string et, sans même hésiter, m’a enculée ! Autant dire que ce plan cul commençait sur les chapeaux de roues !
Mais pas de chance, quelqu’un s’est mis à tambouriner à la porte nous sommant d’ouvrir. Ma conquête m’a alors aboyé : « Ouvre, petite pute et invite-le à nous rejoindre ! ».
J’ai paniqué et je suis restée immobilisée.
C’est donc lui qui a ouvert et invité cet étranger à nous rejoindre. On était serré. Ce nouvel arrivant, à peine plus vieux que mon vendeur de 24 ans, lui a dit que j’étais une libertine cherchant l’orgasme. L’autre a capté le message et m’a planté son dard dans la gorge, tandis que mon flirt sondait mes fesses à tout-va.
C’était incroyable, j’étais devenue une femme facile aux yeux de ces deux minets.
Je n’ai pas fait ma mijaurée et j’avoue que me faire pénétrer par l’un puis par l’autre ça été une expérience inouïe et éreintante.
Pimenter un peu sa vie sexuelle c’est important et moi, plutôt que de tromper mon homme avec un mec de passage tout ça pour faire un pied de nez à la routine, j’ai décidé de l’inclure dans mon délire. Je l’ai donc invité à me rejoindre en forêt pour un pique-nique, soit-disant, improvisé !
Pierre a mordu à l’hameçon, il a trouvé mon idée géniale. Lui qui adore sortir de la ville pour prendre un bon bol d’air, il m’a fait part de ses disponibilités dans la journée pour casser la croûte hors de Paris.
Plutôt que de remplir la glacière de trop de victuailles, j’ai préparé deux sandwiches et rangé une bouteille de vin blanc dedans et c’est tout, ou presque. Comme ça, j’ai réussi à caser mon gode, du gel lubrifiant et un jeu de société coquin que m’avait offert un ex.
Pierre me rejoint à l’heure convenue et je suis prête à lui en faire voir de toutes les couleurs. C’est entre de grands arbres que j’ai décidé de sortir le grand jeu alors je lui sers un verre et, hop, une des bretelles de ma jolie robe fendue, puis l’autre, glissent sur mes épaules nues pas mégarde. Je peux dire que mes gros seins bronzés sont aussi affriolants que ceux d’une icône sexy alors Pierre a vite reposé son verre pour les caresser à deux mains.
Faire l’amour nue avec pour musique de fond le chant des oiseaux ça a toujours été mon fantasme et voilà que je le réalise enfin.
J’ouvre vite la glacière pour mettre du lubrifiant entre mes cuisses, puis j’empoigne mon sextoy et l’enfonce aussi loin que possible en moi.
Là, j’ai senti que mon copain était en train de perdre son sang froid. Comme il est aussi friand que moi de sexe oral, le voilà qui me tend sa verge aussi dure que du bambou. Je m’amuse alors avec ma langue pour le rendre fou et ça marche ! Comme si je léchais une glace, je coince bien son sexe entre mes lèvres tout en pétrissant ses testicules de la main gauche avant de fourrer un doigt entre ses fesses.
Il aime c’est sûr, il bande vraiment !
Pour décupler encore plus son plaisir, je lui offre cette fois une gorge profonde et, là, je sens soudain qu’il va lâcher les vannes. Est-ce que je m’arrête pour calmer le jeu, ou est-ce que je passe à autre chose ? Je décide de penser à moi, alors je me masturbe comme une cochonne. Voyant que je prends un plaisir fou à frotter mon clitoris, Pierre prend le commandement en me pénétrant brusquement.
Soudain c’est le feu d’artifice, il gicle en moi, c’est tiède et réellement bon. On n’a pas joué au jeu de société mais tant pis, l’improvisation ça a du bon !
Je m’appelle Audrey, j’ai 20 ans, de longs cheveux noirs, une bouche gourmande et des yeux bruns très jolis paraît-il. C’est avec Loïc que j’ai perdu mon pucelage le jour de mes 19 ans et c’est encore avec lui que je vais tenter une expérience à trois.
J’avoue que j’en pince pour ce grand blond qui a plus de conquête à son actif que n’importe quel play-boy ! Il est vrai qu’il est beau, charmant et drôle, mais désespérément dragueur et volage !
On s’est donné rendez-vous sur le parking d’une chaîne d’hôtel bon marché, ça n’a rien de romantique mais, au moins, ça a l’avantage d’être dans nos moyens. Etudiants tous les deux, on ne peut pas se payer le Ritz !
Loïc a donné rendez-vous à un mec qui est dans sa cité U et, pour éviter les commérage désobligeants et rester discrets, on a préféré s’éloigner du campus pour ce plan à trois qu’on a planifié depuis longtemps.
Je tremble comme une feuille dans ma petite robe fine que j’ai acheté pour l’occasion et je me sens ridicule car j’ai voulu marquer le coup en ne portant ni string ni soutif. Celui qu’on attendait arrive enfin. J’ai la bouche sèche et je me demande à quelle sauce je vais être mangée. Elégant, brun, et mignon, ce mec me plaît déjà.
Les garçons m’entraînent dans une chambre quelconque où un grand lit trône. Ils me demandent de me mettre à l’aise. Loïc invite Jules à me déshabiller alors, en moins d’une seconde, je me retrouve nue et désemparée.
Soudain un torrent de baisers s’abat sur mes seins. Mes tétons se font téter et je sens des doigts effleurer ma chatte entrouverte.
Quelle douce sensation que d’avoir quatre mains qui se promènent sur ma peau nue, j’en ai la chair de poule. Me voici embarquée dans une initiation chaude durant laquelle mon entrecuisse s’humidifie grâce à deux langues et à quelques doigts.
J’ai très envie de me faire baiser maintenant.
Comme si Loïc lisait dans mes pensées, il enfile son préservatif, imité par son copain, et les voilà qui, sans même se faire sucer me prennent en sandwich. Du coup, sans avoir le temps de dire ouf, me voilà qui me fais prendre en double pénétration. Avoir deux sexes en soi ce devrait être obligatoire pour les femmes, tant c’est le pied !
Je suis aux anges, j’en glousse de plaisir. Accélérez messieurs, hum… Je suis sur le point de jouir.
Ohhh, jamais encore je n’avais eu un orgasme comme ça.. Eux aussi visiblement ne peuvent plus se contenir, du coup dans un même souffle ils sont pris de frénésie et leurs corps en sueur s’agitent tandis que leurs verges me sondent jusqu’à ce que, enfin, ils jouissent !
Merveilleux, inutile d’en dire plus !
Ça vous est déjà arrivé d’être tout excité à l’idée d’un voyage ? Moi, avant même de partir en vacances, c’est toujours mon cas ! Aujourd’hui encore, alors que je m’apprête à prendre le train destination Cannes pour rejoindre une bande de copines, je suis excitée comme une puce.
En ce mois d’août, il fait extrêmement chaud dans le compartiment, heureusement que je ne porte qu’un short et un tee-shirt à bretelles ! Je vois bien que ma tenue est appréciée par le voyageur assis en face de moi, il n’arrête pas de regarder mes jambes effilées et de scruter mes seins.
C’est vrai que je suis plus fraîche et pimpante que sa femme qui, elle, porte une robe informe qui la boudine. Bien contente d’offrir un spectacle au goût de ce quadragénaire, je commence à mouiller ma culotte et, si ça continue, ça va se voir ! Je décide donc de me rendre aux toilettes pour la retirer car elle est déjà gluante de cyprine.
Je me lève et, à ma grande surprise, je suis talonnée par cet inconnu.
Arrivée à la porte des toilettes j’entre et je tourne la tête pour voir s’il me suit toujours comme mon ombre. Oui il est là. Je croise son regard et, d’un large sourire, je l’invite à entrer avec moi dans cet espace confiné.
Je ne suis qu’une allumeuse et j’adore ça. Séduire un homme marié qui fait le double de mon âge, c’est amusant !
A ma grande satisfaction, ce grand brun d’allure banale mais avec un magnifique regard se colle à moi tant c’est petit. Bizarrement nous n’échangeons aucun mot, on se regarde. Soudain on se jette l’un sur l’autre, bouche contre bouche. On a intérêt à se dépêcher de satisfaire nos pulsions sexuelles si on ne veut pas qu’un contrôleur nous surprenne en flagrant délit adultère !
Comme le temps presse, je déboutonne mon short, le fait glisser et je retire ma culotte trempée pour humer son odeur aigre douce. Amusé, il me regarde faire et ouvre sa braguette.
Ni une ni deux, je m’agenouille et j’attrape son sexe qui est, à ma grande joie, épais et long. Ma langue s’attarde sur son gland et je presse en même temps ses couilles douces et pleines.
Cette pipe m’excite à tel point que je me relève pour me pencher face au lavabo tout ça pour qu’il vienne en moi.
Oh que c’est bon de sentir son membre dur dans mon abricot glissant et moite ! Le sentant au bord d’exploser de plaisir, je place ma tête à hauteur de sa queue pour qu’il me barbouille de sa sauce.
Il s’exécute, c’est magnifique !
Mariée depuis trop longtemps et transparente aux yeux de mon mari, j’ai décidé de partir en chasse pour me trouver un amant pour la soirée. J’ai trouvé une excuse valable pour le fuir quelques heures un samedi soir.
Sous prétexte d’aller au restaurant pour changer les idées à une amie cafardeuse, j’ai enfilé un tailleur très féminin et assez court pour me rendre à l’adresse d’un club privé. J’ai 31 ans, une chevelure châtain clair qui boucle, je suis élancée, plutôt jolie et j’aime me faire remarquer !
Ce soir-là, j’avais enfilé des bas nylon soutenus par un porte-jarretelles noir très chic, petite folie à laquelle j’ai cédé suite à un coup de cœur, et j’avais chaussé mes escarpins noirs. J’étais ravissante et désirable. Ma bouche maquillée de rose et mes yeux bleu turquoise soulignés d’un trait de crayon noir étaient du plus bel effet. Je me sentais sexy et, comme l’audace ne m’a jamais fait défaut, j’ai su que cette soirée serait placée sous le signe de la débauche.
Dès que j’ai franchi la porte de ce club libertin situé à quelques pas de chez moi, je me suis sentie femme. Bien des regards masculins m’ont scruté et déshabillé du regard, j’étais flattée et j’avoue que je me suis sentie rougir comme une midinette.
Oui j’étais seule, et alors ? Un homme, la trentaine, distingué et avec une bonne élocution m’a souhaité la bienvenue et entraîné par le bras dans un petit salon pour faire connaissance.
Tout est allez très vite …
Alors qu’il me parlait, ses doigts frôlaient ma bouche pulpeuse, mon cou, mes épaules et son regard admirait l’échancrure de mon chemisier en satin. Le cœur palpitant à l’idée de tromper mon mari avec le premier venu et l’entrejambe moite, je me suis sentis grisée !
Soudain, cet inconnu a tout mis en œuvre pour palper ma chatte et ce geste entreprenant m’a fait un effet fou. N’y tenant plus, j’ai retiré mon string et fait tomber ma jupe, ou l’inverse. Comme j’étais venue dans ce lieu pour baiser et bien c’est ce que je fis, et avec allégresse en plus !
Quelques minutes seulement après avoir profité de la langue de ce type talentueux pour faire couler une femme, un deuxième homme, plus jeune, nous a rejoint. Là j’avoue que j’étais comme une tigresse en rut … Coups de langues et caresses m’ont fait perdre la raison. Dès lors, je n’ai eu plus qu’une envie, me faire prendre coûte que coûte par ces deux hommes désormais nus. Tandis que la verge de l’un visitait ma chatte, celle de l’autre m’imposait de puissants va-et-vient par derrière. Ma raie glissante et lisse a bénéficié de tant d’allées et retours qu’elle s’est retrouvée béante comme une huître ouverte. Mon cul, lui, a été tellement bombardé par cet amant sans nom que lui aussi s’est élargi.
Cette expérience libertine qui s’est terminée en douche de sperme pour moi va, à mon avis, être suivie de bien d’autres escapades sexuelles tant j’ai trouvé ça bon.
Infirmière dans une clinique privée je me suis, un jour, laissée séduire par un médecin au corps d’Apollon. Devant la machine à café, il m’a susurré : « Rendez-vous chambre n°28 dans 10 minutes ! ».
Alors là, je suis tombée des nues. Trop bouleversée pour dire quoi que ce soit j’en suis restée bouche bée. Mais, l’heure venue, je faisais mon entrée dans cette pièce sombre aux stores baissés, pimpante et fraîche comme une rose, émue mais surtout très impressionnée. Avais-je perdu la tête pour mordre à l’hameçon ?
Ce beau docteur m’attendait déjà, assis sur un siège, l’air détendu et sûr de lui. Il m’a intimé l’ordre d’ouvrir ma blouse, ce que j’ai fait les doigts tremblant. Comme je ne portais pas de soutien-gorge, il a détaillé mes seins blancs bien lourds puis j’ai entraperçu un éclair de satisfaction dans son regard quand ses yeux se sont posés sur ma culotte en dentelle. Soudain, il s’est levé pour glisser ses doigts entre mes cuisses fermes et douces.
Je confesse que j’étais déjà bien mouillée puisque les scénarios les plus fous s’étaient auparavant bousculés dans ma tête.
Soudain, il a sorti un foulard de sa poche pour emprisonner mes mains. Jamais je n’aurai pensé qu’il aimait soumettre une femme à ce point. Il m’a accroupie sans douceur et m’a enfoncé son sexe déjà dur au fond de la gorge. Mes poignets me faisaient souffrir le martyr mais visiblement ça l’excitait de me dominer.
Après quelques minutes, que j’ai trouvées interminables, il s’est retiré de ma bouche endolorie et m’a tirée par les cheveux, écrasant mon nez contre le matelas. Là, il a embroché mon entrecuisse comme si je n’étais qu’une pouliche. Mon vagin surmonté d’un fin duvet de poils blonds a accueilli cette pénétration avec bonheur.
Coulant de plaisir de façon vraiment indécente et toute gémissante, j’ai savouré chaque va-et-vient. Quel délicieux amant ! Mais, avant que je ne puisse lui dire « encore », sa main s’est plaquée contre ma bouche. En sueur et le corps arqué en arrière alors que son pouce et son index pinçaient mon téton, j’avais mal.
Devenue son objet sexuel, il n’a eu de cesse de tirer mes longs cheveux blonds et de sonder mon intimité. Comme poussé par une subite pulsion bestiale, ce cher docteur m’a planté sa virilité entre les fesses.
Estomaquée, je suis subitement devenue muette. Là, je me suis mise à me caresser librement, mes mains s’étant accidentellement libérées de ce foulard qui, juste avant, entravait mes mouvements.
Le coup de grâce est subitement arrivé. Il m’a retournée pour éjaculer sans cérémonie sur ma poitrine laiteuse. Comme si je n’étais qu’une soubrette, il m’a alors dit « Rhabille-toi et sors».
Honteuse de m’être offerte de la sorte, j’ai refermé la porte derrière moi, encore toute essoufflée et les cheveux en bataille. Après avoir confessé cette expérience sexuelle à une collègue, j’ai appris la terrible rumeur, il paraît qu’il a engrossé plus d’une jeune et jolie infirmière !
J’étais au travail, devant mon pc, et comme tous les jours, Grégory et moi discutions de tout et de rien sur internet.
Greg est un bon ami, avec qui je partage beaucoup, mais jamais nous n’avons eu l’occasion de coucher ensemble.
Pourtant nous étions attirés l’un par l’autre, nous avions tous les deux les mêmes envies sexuelles.
Jusque là nous n’avions fait qu’en parler, jusqu’à aujourd’hui …
J’étais seule au travail dans mon bureau, et je m’ennuyais. Je parlais à Greg de mon envie de me faire prendre dans un magasin, dans les cabines d’essayage, ce qui l’excita énormément.
Je lui demandais alors si son sexe devenait dur, et il me répondit qu’il l’avait en main, et qu’il n’attendait que ma bouche.
J’eus alors comme un frisson qui venait de mon entre jambes, c’était trop bon.
Je décidais de fermer la porte à clefs pour être tranquille …
Et j’ai commencé à me caresser la chatte à travers mon jeans, je décrivais chacun de mes gestes à Gregory.
Rien qu’à l’imaginer en train de se masturber, mmmhh j’étais déjà toute mouillée!
Je décidais de l’appeler pour monter l’excitation.
Il était vraiment content de mon initiative.
J’ai commencé à ouvrir mon pantalon et l’enlever.
J’avais mis un petit string rouge transparent, qui, je le sais, excitait beaucoup Grégory quand il dépassait de mon pantalon…
J’entrepris de me caresser le clito, c’était divinement bon. Greg me disait d’imaginer ses mains, ce qui n’était pas difficile.
J’étais très excitée, je mouillais comme une salope, c’était trop bon, je me mettais un doigt, puis deux puis trois, je sentais que j’allais jouir et Greg l’entendait !
Je revenais sur mon clito qui était très excité, et n’attendait qu’à être léché par une belle langue.
Je m’imaginais déjà avec Greg entre mes jambes, hummmm je jouisssssssssss c’est bon, pendant que Greg lâche sa semence dans ses mains.
J’ai vraiment aimé, et sûr que la prochaine fois, je ne serai plus seule au bureau …
Jeune femme dotée d’un joli physique, j’arrive à avoir souvent ce que je veux …
Après avoir ouvert ma sexualité aux joies les plus profondes, j’hérite donc d’une libido très difficilement contenable …
Envie tout le temps, pour rien, avec tout, n’importe quoi …
En surfant, je tombe sur une vente de godes … Je cherche celui qui fera l’affaire …
Un monstre de 22 cm et de 5 cm de diamètre avec un petit lapin qui vient frotter sur le clito pendant que ce bâton vient pénétrer avec force … Réception dans les 2 jours …
Arrivé chez moi, mon lapin me fait de l’oeil, ni une ni deux je l’enfonce, ça vibre, ça masse, ça pénètre, ça tapote; je jouis, plus fort, plus loin, je me martèle …
Ayant pris soin d’entrebâiller mes volets de façon à ce que l’on puisse me voir mais en me protégeant quand même, je continue mon pilonnage, c’est énorme, mes reins cambrés, ma longue tignasse blonde sur mon dos, la bouche entrouverte, les yeux voilés, je gémis, je crie doucement d’abord quand une idée me vient en tête …
Inclinant mon bassin, j’entreprends de le faire pénétrer dans mon anus …C’est moi qui gère … une fois enfoncé, je calme les vibrations et m’entreprends …
C’est bon, je me sens serrée, tout se contracte, je décide donc d’alterner mes jolis petits orifices … Devant, derrière avec force, presque avec violence, c’est bon!
Je me cambre, me tortille, mes voisins vont m’entendre … c’est l’après midi ! Je m’en fous : c’est trop bon!
Mon lapin vibromasseur me butine, me martèle, mets mon clito à feu et à sang. Dans un profond cri, c’est fini.
Je ne peux plus toucher à rien, mon ventre, mes reins sont chauds, bouillants …
16h00: Il est temps de partir, je redescends ma jupe et enfile mes escarpins, pas le temps de changer de string …
Zou ! dans mon sac à main, un clin d’oeil à mon lapin et c’est parti !
Mes mains partent de la base de ta nuque.
Mes doigts jouent quelques instants dans tes cheveux puis descendent le long de ton dos. Je ne suis pas très patiente et très vite ma main droite caresse la bosse à travers le tissu de ton pantalon. Tu gémis mais il ne te vient pas à l’idée de me dire de cesser cette sensuelle torture.
Alors ma langue se joint à mes mains et glisse à son tour, partant du coup, descendant sur le torse, titillant tes tétons, suivant la ligne qui mène à ton nombril puis descend plus bas vers …
Lentement ma main descend ta braguette. A nouveau je te caresse et cette fois il n’y a que le tissu de ton boxer entre mes doigts et ton sexe. Toujours en déposant des baisés volontairement humide, ma bouche continue sa descente. A son tour elle se pose sur ton boxer qui semble cacher difficilement ton membre qui ne demande qu’à en sortir.
Je dégage ta queue de sa prison et y dépose tout plein de petits baisers du bout des lèvres. Je t’aide à ôter ton jean et ton boxer complètement. Tu es désormais nu devant moi. Je suis à genou devant toi. Mes mains te caressent lentement sur toute la longueur de ta bite. Tu es raide et tendu comme si tu voulais atteindre ma bouche. J’approche mon visage de ce membre viril dont la dureté m’excite et, pour te mettre au supplice je ne le prends pas tout de suite en bouche.
J’approche mon nez et constate avec bonheur que seule l’odeur du désir se fait sentir. Mes doigts continus délicatement leur exploration de ces centimètres de chair tant désirée et ma bouche vient à leur rencontre. Te regardant dans les yeux je lèche mon doigt avant de te lécher le sexe. Lentement, d’abord le gland, comme la boule de glace sur un conne puis plus loin, plus gourmande je deviens plus active …
Tu sens toujours mes doigt là, sur tes boules pendant que ma bouche te lèche sur toute la longueur puis t’engloutie à plusieurs reprise.
Il va de sois que tu n’es pas resté sans rien faire mais je sens à la pression que tes mains exercent sur la tête que tu te laisses emporter vers le plaisir où ma langue souhaitait t’accompagner …
Laisse la sève monter …
Laisse la sortir, là sur le bord de ma bouche, couler le long de ma main qui emprisonne ton pieu …
Laisse toi aller, laisse-moi te donner du plaisir …
Viens dans mon monde de jouissance …
Tu y es ? Bienvenue …